Pourquoi l’éthique de la 3D ?

C’est à partir de 2008 que la République et Canton de Genève décide de lancer un groupe de réflexion sur l’éthique des modélisations 3D territoriales. En effet, porteuse d’une modélisation 3D de nombreux éléments de son territoire et demandant à ce que les nouveaux projets d’aménagements soient modélisé ainsi, elle a été confrontée plusieurs fois à un rendu final qui s’avérait différent différent de la proposition initiale, telle qu’elle avait été simulée en 3D.

Très vite, la réflexion s’est élargie, avec l’arrivée d’autres professionnels, tels que l’Office fédéral de topographie swisstopo, l’IGN (Institut Géographique National) ou encore GéoVision-Avenir. D’autres interlocuteurs viendront compléter le petit groupe : le SIA (Société des ingénieurs et architectes, section genevoise), l’AGG (Association des géomètres et géomaticiens genevois), Urba-Lyon (Agence d’urbanisme de Lyon), l’OAGQ (Ordre des arpenteurs-géomètres du Québec), la ville de Montréal, la société Halbout Consultants et la Principauté de Monaco.